dimanche 27 octobre 2013

Championnat régional Pyrénées de parapente : Bilan de fin de saison.

La fin de la saison est arrivée pour le Championnat régional Pyrénées de parapente ; c'est l'heure du bilan.

Avant de commencer à parler des résultats, et du reste, je tenais à avoir une pensée pour nos 2 amis pilotes, Patrick et Vincent, qui ont payé très cher le prix de leur passion sur ce championnat ces 2 dernières années. Je pensais donc à eux, leur disparition nous a tellement touchés. Luis qui nous a également quitté, le même jour que la disparition de Vincent, juste de l'autre côté de la chaîne Pyrénéenne. Trois garçons adorables ; je tenais à leur rendre hommage.


Champion régional Pyrénées de parapente (depuis la création de ce championnat en 2002) :
  • 2002     Bernard RICAUD
  • 2003     Jean-Paul COUZINET
  • 2004     Pierre REMY (Targa)
  • 2005     Vincent MARBACH (Boomerang)
  • 2006     Kévin BONNENFANT (Tribute)
  • 2007     Kévin BONNENFANT (Eris 2)
  • 2008     Mattieu BORDELONGUE (Peak)
  • 2009     Pierre REMY (Icepeak 3)
  • 2010     Eric DAIGREMONT (Boomerang 6)
  • 2011     Pierre REMY (Icepeak et Icepeak 5)
  • 2012     Pierre REMY (Icepeak 6 et Diamir)
  • 2013     Sylvain GATTINI (Icepeak 6)

Championne régional Pyrénées de parapente (depuis la création de ce championnat en 2002) :
  • 2002     Fabienne BERNASCONI
  • 2003     Hélène CRUELLS
  • 2004     Pascale AGUERO (Spirit)
  • 2005     Eva HUMEAU (Sigma 6)
  • 2006     Eva HUMEAU (Sigma 6)
  • 2007     Anne DUFOUR (Antea)
  • 2008     Loraine HUMEAU (Aspen 2)
  • 2009     Anne-Sophie DURAND (Aspen 2)
  • 2010     Anne-Sophie DURAND (Aspen 3)
  • 2011     Anne-Sophie DURAND (Omega 8)
  • 2012     Anne-Sophie DURAND (Omega 8 et Icepeak 6)
  • 2013     Anne-Sophie DURAND (Icepeak 6)

Championnat des Pyrénées en quelques mots, c'est quoi ?

Ce classement prend en compte tous les pilotes inscris aux compétitions "sport" qui ont eu lieu dans la région Pyrénées sur la saison 2013, et ceci sous l'égide de la FFVL (Fédération Française de Vol Libre). La FFVL délègue l'organisation des compétitions "sport" par région aux ligues de vol libre, et celles-ci laissent les clubs locaux organiser ces rencontres sportives.

La région "Pyrénées" est constituée du massif Pyrénéen proprement dit, ainsi que des plaines du Sud-Ouest : la ligue Aquitaine, la ligue Midi-Pyrénées (sauf l'Aveyron) et les départements des Pyrénées-Orientales et de l'Aude.

Principe du classement : le classement se fait sur les 5 meilleures manches sport du circuit Pyrénées.

Podium et détail du classement Pyrénées pour cette saison 2013 :




Cette année, la FFVL a souhaité éditer 2 autres classements en plus du titre de champion et de championne des Pyrénées.
Il s'agit du classement "loisir" et du classement "piafs et aiglons".

Classement loisir :

Ce classement regroupe les pilotes volants sous des ailes dites de loisir, homologuées de EN-A à EN-C.


Classement piafs et aiglons :


Il s'agit du classement des pilotes débutants en compétition, dont c'est leur 1ere année de compétition.



Point personnel :

Depuis 2006 date à laquelle j'ai repris la compétition de parapente, je participe à la majorité des compétitions sport (anciennement compétition dites B ou régionales) qui se déroule dans la région Pyrénées. Historique de mes résultats au classement général sur cette compétition :
2006 : 14ième
2007 : 4ième
2008 : 30ième
2009 : 18ième
2010 : 3ième
2011 : 2ième
2012 : 2ième
2013 : 1er

Certains pourront penser que volant sur le circuit haut niveau, je n'ai plus rien à faire dans ce type de compétition ; ou pourraient aussi se demander où je trouve ma motivation et l’intérêt de voler sur le circuit Sport au lieu de ne cibler que les compétitions d'un niveau plus relevé.

A cela plusieurs explications.

D'abord en habitant près de Pau, le circuit Elite se trouve dans les Alpes, la motivation s'arrête assez vite dès qu'il faut envisager de faire 1500 Km plusieurs WE dans l'année pour aller voler si loin et de façon répétitive. C'est autant un frein économique qu'une limite de disponibilité et de fatigue. En gros, une année aux conditions météo normales, c'est près de 15000 Km à faire pour participer au circuit Elite. Merci sans façon !
Et concernant les compétitions internationales, il n'est pas possible de faire tout le circuit en conciliant activité professionnelle et vie de famille...
Ensuite il y a le plaisir, celui de voler dans une région que j'aime, d'un bout à l'autre de la chaîne Pyrénéenne, et le plaisir d'y retrouver une bande de copains.

C'est sur ce circuit sport que je me suis confronté à plus doué que moi pendant plusieurs années, que j'y ai puisé l'envie de progresser et que je me suis fixé des objectifs de performance. La compétition est une course permanente vers la performance et l'envie progresser. Je ne suis pas à la recherche d'une pratique loisir du parapente, mais bien sportive. Et comme j'ai pu être boosté vers le haut depuis plusieurs années au contact des meilleurs Pyrénéens, aujourd'hui j'ai conscience de pouvoir jouer en partie ce rôle de moteur pour des pilotes plus novices en compétition et qui par la force des choses vont progresser à mon contact, et de façon générale au contact des meilleurs compétiteurs Pyrénéens.

Je pense que cette mixité, qui a toujours existé dans les compétitions Pyrénéennes, permettra de voir arriver de nouveaux pilotes à un bon niveau. Et j'incite tous les pilotes émergents dans le circuit sport Pyrénées à passer le cap suivant et à s'inscrire à des compétitions différentes. Il y a un nombre important de compétitions qui se déroulent en Europe et qui durent 1 semaines, permettant de côtoyer un niveau plus relevé et de prendre plaisir à concourir plusieurs jours d'affilé. Je prends comme exemple les championnats nationaux qui sont ouvert à tous et qui offrent généralement des semaines de vol extraordinaire (Espagne, Portugal, Belgique, Suisse, Pays Slaves...) ; ces championnats Nationaux ont souvent lieu dans des endroits superbes pendant la saison estivale.
Je reste persuadé que le niveau des compétitions Pyrénéennes est un bon tremplin pour s'essayer à une pratique d'un niveau plus relevé.

Désertion du circuit Pyrénées ?

Oui on constate un réel effritement de la fréquentation des pilotes sur le circuit Pyrénées. Quelques chiffres pour illustrer cela : nombres total des pilotes inscrits sur circuit Pyrénées par saison :
- 2011 : 108 pilotes classés
- 2012 : 104 pilotes classés
- 2013 : 85 pilotes classés

Les causes ?

Déjà pour commencer la météo ; une année pourrie, avec un hiver sans limites, un passage à l'été sans avoir connu le printemps ; encore une année venteuse, l'ennemi de notre sport ; bref pas facile de trouver la motivation lorsque les WE de pluie s’enchaînent les uns derrière les autres... Et 2012 n'était pas une année exceptionnelle non plus...

En chiffres, cela donne pour 2013 : 9 manches courues (dont 2 qui ne valaient pas grand-chose à cause des trop petites conditions) sur 43 manches potentielles !!!
En 2012 même topo avec 13 manches courues sur 47 manches possible...

Cela n'aide vraiment pas à rester mobilisé. Face à la météo on ne peut pas grand-chose, quoi que... j'y reviendrais un peu plus loin... on doit peut être chercher des solutions pour s’adapter à ce changement climatique. 

Ensuite il y a le sentiment d'un certain malaise qui s'est mis en place depuis 1 an ou 2. La météo en est une partie de l'explication, les drames vécus une autre, mais il y a autre chose.
Je pense qu'il y a aussi une part de démotivation due aux nombreux changements imposés par notre fédération et la FAI que nous avons du subir ces dernières années :
- changement d'homologation des voiles
- changement des règles du jeu des compétitions, en particulier changement du scoring
- changement du classement et des podium des compétitions
- lourdeur du système d'inscription
- problèmes récurrents de l'affichage des résultats en cours de saison et dysfonctionnement de Cargol (logiciel de calcul des compétitions)

Il est certain que les changements réguliers de la façon de scorer et de définir les règles du jeu nous a fait perdre plus d'un compétiteur en cour de route... Car même aujourd'hui, qui est capable de parfaitement expliquer quelles sont les règles du jeu et comment fonctionne nos classements ? Une mère n'y retrouverait pas ses petits...

Et puis, lorsque je regarde le podium officiel du championnat des Pyrénées sur le site de la FFVL en fin de saison, je vois cela :


Il n'y a pas de mise en avant des autres catégories (catégorie LOISIR et catégorie PIAFS ET AIGLON). C'est dommage et pourtant ce n'est pas quelque chose d'insurmontable que de communiquer aussi sur ces catégories là pour redonner de la motivation à chacun de se battre dans sa propre catégorie. Et c'est d'autant plus dommage que pendant toute la saison la classement a bien été fait dans le respect des ces catégories là ; il ne manque pas grand-chose pour rendre la visibilité au résultat final et entretenir l'envie et la motivation à chacun de concourir.
Dans toutes les pratiques sportives il y a des classements gratifiants au fur et à mesure des échelons de la progression d'un sportif.

Ensuite le système d'inscription ; trouver plus archaïque et chiant cela n'existe pas ! On envoi pour la saison près de 50 chèques, une vingtaine d'enveloppes, cela prend une 1/2 journée bien chiante, on crame un chéquier qui d'ailleurs pose problème à la banque car comme les chèques ne sont pas forcement débités, on n'obtient pas de renouvellement automatique, et au final tout cela pour faire 4 ou 5 journées de vol... C'est certain qu'il faut être ultra motivé pour continuer à vouloir se prendre la tête comme cela.
Et puis si par miracle il fait beau et que la compétition a lieu, ce sera des heures d'attente à la fin de la compétition pour essayer de décharger sa trace de vol dans le logiciel Cargol qui ne marche plus vraiment. Ce printemps, à Val Louron, par exemple, nous avons volé 1h30 et j'ai ensuite passé 3h30 enfermé dans une salle pour vider les traces des pilotes. Et nous n'étions qu'une trentaine de pilotes !!! Lorsque je suis rentré chez moi, j'avais le souvenir d'avoir passer l'après midi devant un ordinateur, je n'avais plus le souvenir d'avoir volé ce beau dimanche ensoleillé... En comparaison, dans n'importe qu'elle compétition hors de France, pour 100 à 130 pilotes, le déchargement se fait dans des délais tout à fait raisonnables... mais sans Cargol bien entendu ! Mais nous les Français nous sommes meilleurs que toutes les autres nations, c'est bien connu ; le seul problème c'est que l'on ne sait pas aller chercher ailleurs ce qui ne fonctionne pas (ou plus) chez nous ; et on s'obstine dans l'erreur et dans l'échec. Jusqu'à quand ? Jusqu'à ce qu'il y ait plus de pilotes en compétition sans doute...
En tout cas ce n'est pas faute de l'avoir spécifié à la FFVL après chaque compétition ; mais depuis aucun retour sur ce sujet. Cela m'amuse car souvent on parle des bénévoles et on met en avant leur implication. Mais si notre fédération ne soutient pas les bénévoles au quotidien face à leur difficultés, je pense que leur motivation elle aussi va s’essouffler...

Autre point : les résultats... Pendant toute la saison, du mois de mars au mois de septembre, les résultats des compétitions n'étaient soit pas affichés du tout, ou alors s'ils l'étaient ils étaient faux ! A part amuser celui qui gère cela pour la FFVL, cela a aussi contribué à détourner l'attention des compétiteurs... Même dans le plus lointain championnat sportif du fin fond de la France, que ce soit à la pétanque, au foot ou au watter polo, on trouve le résultat des compétitions en cours ; partout sauf dans le parapente !

Bref tout le monde en a raz le bol et cela pousse les gens à revenir aux choses simple du vol libre : prendre sa voile et aller tutoyer les nuages sans se prendre la tête... Après j'espère que personne n'osera poser la question suivante : "mais pourquoi les pilotes désertent les compétitions" ?
La réponse ils l'auront s'ils ouvrent les yeux...

Après j'ai aussi entendu qu'il était reproché un niveau de compétition devenu trop élitiste ; aussi bien sur le choix des manches que sur le type de pilotes présents aux compétitions.

Sur ce point là je ne suis pas d'accord et je donne quelques exemples : concernant le niveau des pilotes présents, il suffit de regarder le podium du championnat des Pyrénées depuis 2002 pour se rendre compte que le niveau des pilotes présents est relevé depuis longtemps. Ce n'est pas nouveau.

Ensuite sur le niveau des manches proposé, il suffit d'aller voir le type de parcours qui étaient proposés il y a quelques années. Parfois aller voir le passé permet de mieux comprendre le présent et d'envisager le futur...
J'ai fouiné dans les résultats sur le site de la FFVL et j'ai relevé quelques exemples.
- En 2003 les compet à Arbas allaient déjà faire une balise vers Cazavet (parcours qui a été reproché cette année par certains) ;
- Toujours en 2003, à Val Louron il y avait des balises dans la vallée du Louron, et un tour à St Lary (Granges et Pylône) avant de revenir à Génos ;
- en 2004 à Aucun c'était un départ de la Bergerie à Hautacam, et après quelques balises dans le bocal, un tour à Couraduques !!! ;
- toujours en 2004 à Arbas le goal était à Moulis ; et oui !
- encore en 2004 à Val Louron, c'était le grand tour : déco du 700, puis les granges à St Lary, le Céciré, le Pic du Lion et retour à Génos.
- dans le même coin et la même année, à Luchon, au départ de Super, fallait tourner le col d'Azet à Val Louron, le Pic du Lion et retour à Luchon... 51,4 Km en moins de 2h30 avec des voiles de moins de 9 de finesse (Firebird Debute)...
- en 2006 à Guzet, après avoir fait des zim zam dans le bocal de Guzet, le goal était à Oust (cross qui même aujourd'hui n'est presque jamais réalisé...) ;
- Pour finir, mais les exemples sont encore nombreux, la belle manche ambitieuse au départ du Prat d'Albi à Foix avec un goal à ... Arbas ! Plus de 58 bornes bouclées en moins de 2h30 par 5 pilotes...

Si on regarde bien le passé, avec le niveau des voiles et des pilotes de 10 ans en arrière, le niveau des compet sport aujourd'hui à même régressé à mon avis en terme de complexité et de difficulté de manches.
Car si aujourd'hui on proposait une manche en piémont Pyrénéen avec un goal à près de 60 bornes, on passerait pour des fous...
Donc je pense qu'il faut bien relativiser et ne pas tomber dans aucun excès ; ni celui de pousser les pilotes à se mettre en difficulté, ni transformer les compétitions en de simples stages cross, où le moniteur est remplacé par le DE et où des navettes sont incluses dans les frais d'inscription.

Je reviens un instant sur l'apsect météo. On a pu se rendre compte cette année avec cette météo particulièrement capricieuse que le jour où une compet était prévue à un endroit, en bien à cet endroit là cela ne volait pas ou pas bien, et qu'à un autre endroit c'était excellent.
Je prend comme exemple le Baigura en mars, avec des conditions malheureusement anémiques, et le même WE des conditions hallucinantes dans les Hautes Pyrénées. Idem plus récemment, on a espérer toute la journée faire quelque chose en vain sur le site de Dourgne alors que ce jour là le Prat d'Albis offrait des conditions particulièrement favorables.
Ce que je veux dire là est compliqué, car en aucun cas je ne reproche la météo à laquelle nous ne pouvons rien sur un site donné ; même la plus grande motivation et implication d'un club n'y changera rien. Ce que je veux dire, et à la vue des dernières années particulièrement compliquées, ne devrions nous pas envisager une partie des compétitions qui soient organisées de façon différente, de façon "flottante", non plus par un club, mais par un DE peut être plus professionnel, et afin de rendre la date ou le lieu à flexibles en fonction des conditions météo. Je ne sais pas si cela peut être une solution, mais ne devrions nous pas envisager cela et porter cette question à tous les compétiteurs pour avoir leur point de vue sur ce sujet ?

Quelques belles images de la saison 2013 lors des compétitions sport Pyrénées pour finir sur une note positive...

Vivement 2014 ! Restera à voir sous quel format, et avec quelle implication des organisateurs et motivation des compétiteurs ?

 
Arbas

Saint Lary

Saint Lary

Val Louron

Val Louron

Dans quelques jours je ferais un bilan plus général sur ma saison de compétition. Du temps j'en ai à revendre en ce moment...

8 commentaires:

Anonyme a dit…

Biensur cette année je reprends le parapente, mais je trouve ton analyse exacte sur les compet , la météo et la distance des manches. le matos ect...

Après comment arriver à motiver a faire mieux sur des manches de compet? augmenter la distance mais en simplifiant le parcour? peut être arriver à faire des manches de distances libres les journées où les conditions sont excellente ? bref il doit y avoir des idées a exploiter comme prendre en considérations la météo pour le weekend et être mobile. car a l'heure actuelle les compétiteurs viennent de partout et on a la facilité(logiquement) de modifier les choses assez vite. on pourrait passer de Dourgne a Foix, de FOIX a luchon, ect... bon rétablissement sylvain et bravo pour ta saison!
eddie

Anonyme a dit…

La motivation de tous les compétiteurs augmenterait en commençant par annulé les competes qui doivent être annulé à cause de la météo pour ne pas déplacé les compétiteurs pour un rien, ou alors annoncé les conditions et les probabilités de faire la manche.
Pour ce qui est des competes qui aurait une certaine flexibilité je suis tout à fait d'accord avec toi. Il devrait y avoir au moins 3 competes ou la date serait fixe avec un repport au cas ou. Mais le lieu lui serait décidé dans la semaine précédent la compete. Je dit trois comme ça on est sur d'avoir les cinq manches pour faire le classement Pyrennee.
Benjamin B.

Anonyme a dit…

A titre purement didactique :

"La motivation de tous les compétiteurs augmenterait en commençant par (annulé) annuler les competes qui doivent être (annulé) annulées à cause de la météo pour ne pas (déplacé) déplacer les compétiteurs pour un rien, (ou) où alors (annoncé) annoncer les conditions et les probabilités de faire la manche.
Pour ce qui est des competes qui (aurait) auraient une certaine flexibilité je suis tout à fait d'accord avec toi. Il devrait y avoir au moins 3 competes (ou) où la date serait fixe avec un (repport) report au cas( ou ) où. Mais le lieu lui serait décidé dans la semaine (précédent) précédant la compete. Je( dit) dis trois comme ça on est (sur) sûr d'avoir les cinq manches pour faire le classement (Pyrennee) Pyrénées."

Bon, enfin, ce n'est pas très grave, on comprend le sens général, l'essentiel reste de se faire plaisir en vol.

Sylvain GATTINI a dit…

merci pour vos retour d'info ; vos avis sont forts intéressants ; je vois que l’idée d’avoir quelques manches « flottantes » est une idée à creuser.

Anonyme a dit…

Merci à la personne qui a pris la peine de corriger entièrement le commentaire précédent, car je pense que personne n'arrivait à comprendre. Heureusement qu'il reste des personnes dans ce monde pour faire une étendue de leurs connaissances et corriger les autres. Merci à toi, O bel ange de l'orthographe, puisses tu continuer à corriger les nombreuses fautes de notre langage.

Anonyme a dit…

Encore un article de plus qui apporte de la nouveauté dans le débat, passionnant !

En comparant ma revue de parapente et ton blog, je me demande pourquoi je paie pour l’un et pas pour l’autre.

De plus je serai ravi d’être un de tes modestes « sponsors ». A titre privé, j’aurai plaisir à participer au frais que tu engages pour notre sport (oui je crois que des gens comme toi investissent pour le parapente en général et pas uniquement pour eux).

Bref, je suis prêt à faire un don au prorata du « temps de plaisir » que je passe à te lire. Si tu mets quelque chose en place, j’espère être le premier à tester.

Un anonyme, dont tu n’as jamais entendu parler

PS : un grand merci pour tout le blog et tout le reste !

Sylvain GATTINI a dit…

Je viens de lire ce soir le message précédent, en même temps que je viens de suivre sur le net le record du monde de distance réalisé aujourd'hui par Nicole Fedele au Brésil : 389.1 Km en ligne droite : chapeau bas !
Juste devant elle, des gars formidables viennent de battre leur propre record à plus de 400 Km (407.1 Km) ; bravo à Honorin Hamard, Stéph Droin, Olivier Michelsen et Luca Bernardin.

Pour revenir au message précédent, je suis touché par ce que j'ai pu lire. Il est vrai que j'aime à faire partager ce que je vis dans ma pratique du parapente. Et ce type de message fait énormément plaisir ; et j'espère que cela durera encore quelques années...
Là je suis encore cloué au sol pour quelque temps, jusqu'en début d'année, mais l'aventure recommencera ensuite...

Anonyme a dit…

Bravo pour cette belle saison
hukko974